Bienvenue chère âme dans le progr'âme apprendre par soi-m'aime :
Se libérer de ses croyances limitantes et autres mécanismes d'autosabotage
« Ta seule limite c’est toi-même ! » Je me souviens que cette phrase m’a fait un tel effet que ça a radicalement changé ma vie. Prendre conscience que nos seules limites c’est nous-mêmes qui nous les imposons c’est faire un bond en avant : un saut quantique dans sa conscience.
Introduction et bases du travail intérieur
Travaux pratiques à faire au moins 1fois/mois (vers la pleine lune) et à chaque fois que vous en ressentez le besoin (c'est-à-dire à chaque fois que vous etes confronté(e) à des blocages, inquiétudes, peurs, souffrances...) :
Sur une feuille de papier, noter, point par point : les pensées, croyances, peurs, blocages...que vous observez chez vous ainsi que les ressentis qui y sont associés ET les vérités profondes (correspondant à ces croyances limitantes) qui hémanent de votre coeur, de votre "petite voix", de votre âme, de l'intérieur ainsi que les ressentis que cela vous procure.
Comment se forment nos blocages ?
Il apparait important de commencer par vous expliquer comment on se crée des blocages dans notre vie.
Toute expérience vécue sur le plan physique est soumise à interprétation. Tout ce que nous vivons, qu’il s’agisse de choses agréables ou pas, passe par le filtre de notre interprétation. On va littéralement interpréter, comprendre et analyser tout ce que l’on vit à travers le filtre de notre conscience.
Notre conscience évolue et s’enrichit au cours du temps et grâce à notre vécu. Nous n’avons ainsi pas la même vision des choses étant enfant qu’étant adulte, ni même au cours des différentes étapes de notre vie.
Tout est une question de perception et de conscience.
Ce sont nos interprétations erronées ou encore biaisées de la réalité qui vont faire que l’on va générer des affirmations fondamentalement fausses, que l’on va ériger comme des vérités. On se crée alors des croyances erronées (sur nous-mêmes, sur les autres, sur la vie…bref sur tout un tas de choses) que l’on pense être vraies. Les pensées et interprétations discordantes que l’on génère alors forment les croyances racines de nos divers blocages et souffrances.
C’est ainsi que l’on se crée soi-même nos propres blocages dans la vie, que l’on en est conscience ou pas.
Voici des exemples concrets illustrant comment se créent des blocages/croyances racines de souffrance:
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Un bébé pleure et réclame de l’attention. A ce moment-là sa mère, qui se trouve juste à côté, est occupée et ne peut pas répondre à son appel dans l’immédiat. L’enfant voyant que sa mère ne s’occupe pas de lui, se sent alors profondément abandonné, il a la sensation de ne pas compter aux yeux de sa maman, il interprète le fait qu’elle ne vienne pas comme un manque d’intérêt de sa part à son égard. Il enregistre dans son subconscient la croyance d’être privé d’amour et d’attention, il se croit abandonné, mal aimé…Cet enfant intègre cette information dans la construction de son identité qui va elle-même résulter des différentes situations qu’il va vivre et qui vont ainsi forger sa personnalité et sa définition de lui-même. Si on en revient à la réalité de cet évènement : la mère de cet enfant ne l’a pas abandonné, ni cessé de l’aimer : elle était tout simplement occupée à cet instant précis, d’ailleurs elle est venue le voir quelques minutes plus tard.
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Un enfant vit dans une famille dont le père est violent : il frappe sa compagne. Un jour le père s’en prend à cet enfant sous les yeux de sa mère qui n’intervient pas. A ce moment-là cet enfant en veut profondément à sa mère car il s’est senti en danger et avait besoin d’être aidé, il s’est dit que sa maman pourrait le protéger. Or elle ne l’a pas fait. L’enfant a dès lors forgé un immense sentiment de colère issu de la croyance que sa mère pouvait l’aider et qu’elle a délibérément choisi de ne pas le faire. Cette interprétation est tout à fait compréhensible compte tenu de ce qu’il s’est passé et de la conscience de l’enfant à ce moment précis. La réalité est que la mère, dans sa psyché, elle-même victime de la violence de son conjoint, est rentrée dans un état de sidération à la vue de la violence perpétrée sur son fils. Elle aurait voulu l’aider, mais ne le pouvait pas car sa peur était trop grande et l’a empêché de faire quoi que ce soit. Elle souffrait ainsi doublement : de sa propre peur et de la souffrance de voir son enfant être battu.
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Une mère qui aime énormément son enfant à tel point qu’elle a choisi de sacrifier sa vie et son bonheur pour la santé de son enfant. Elle a du mal à exprimer l’amour qu’elle porte à sa fille et pense que son enfant voit tout ce qu’elle fait pour son bien (alors même qu’elle ne le lui dit pas). Cet enfant, très sensible, ne se sent pas aimée car alors qu’elle souhaiterait avoir des signes d’affection (câlins, paroles réconfortantes, gestes tendres, complicité, mots d’amour ou d’encouragement…) elle n’obtient que des objets matériels auxquels elle n’accorde pas vraiment d’importance. Même si elle sait que sa mère l’aime, elle finit quand même par se forger la croyance que sa mère ne l’aime pas car elle ne perçoit pas l’amour que sa mère lui porte (elle ne dit jamais « je t’aime », ne fait pas de câlins…). La vérité est que la subsistance matérielle est fondamentale pour cette mère de famille qui a toujours du se débrouiller seule. Pour elle, offrir des choses à sa fille et subvenir à tous ses besoins matériels et la plus grande preuve d’amour qu’elle puisse lui donner. Dans son référentiel, elle ne se rendait pas compte que son enfant souffrait de manque affectif car elle-même ne s’autorisait pas à se donner cet amour et la douceur dont elle a tant besoin. Cette mère aime infiniment son enfant et le lui montrait à sa manière. L’enfant qui avait des attentes d’ordre affectif (besoin de câlins, de mots d’amour…) a mal interprété le comportement de sa mère lorsqu’elle lui manifestait son amour à sa manière (c’est-à-dire de façon matérielle).
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Un père perfectionniste et très exigeant, projette sur lui et son entourage ses conceptions en matière de valeurs, de comportements « acceptables » ou pas… Une petite fille innocente se voit réprimandée par son père qui tient des propos dévalorisants. Elle est alors profondément attristée par son attitude et se forge la croyance de ne pas être assez digne de son amour. Elle grandit en se dévalorisant, ne se faisant pas confiance car elle pense profondément « ne pas être assez ». La réalité est que son père a projeté sur sa fille ses propres insécurités intérieures dont il n’a même pas conscience.
Exercice pratique : Rappelez-vous de ce qui s’est joué en vous dans certains moments de votre vie (comme ceux cités en exemples). Est-ce que vous vous souvenez de la petite voix intérieure qui vous disait « calme-toi », « tout va bien », « ça va aller » ou encore « non tu fais fausse route », « ce n’est pas ça »…et que vous ne l’avez pas écoutée, préférant rentrer dans la colère ou autre ressentiment ? Vous rappelez-vous lui avoir alors dit de se taire et qu’elle avait tort ? Essayez de vous en souvenir.
Comme vous pouvez le constater, il n’y a ni victimes, ni bourreaux, ni coupables…à nos malheurs.
Il est important d’aller au-delà des jugements de valeur en matière de « bien » et de « mal » si l’on souhaite réellement comprendre ce que l’on vit.
Il est important de dépasser le stade illusoire des apparences et d’aller contacter la réalité.
Libérez-vous des concepts de « faute ». NON les autres ne sont pas responsables de nos malheurs et NON nous ne sommes pas non plus « coupables » de quoi que ce soit.
Par contre : nous avons la LIBERTE d’utiliser notre pouvoir créateur en conscience pour notre plus grand bien et le plus grand bien de tous.
1. Perceptions
2. Perceptions à différents niveaux
Comment savoir si on est face à une croyance limitante ?
Tout ce qui ne vibre pas en harmonie avec notre être profond, est discordant.
C’est le signe que quelque chose n’est pas fluide, qui n’est pas juste, pas entièrement vrai. Si ça ne vous fait pas vibrer c’est qu’il y a un hic.
On ressent comme un malaise intérieur, de la lourdeur (mentale, émotionnelle, énergétique voire physique) voire de la souffrance à différents degrés.
Les croyances limitantes créent de la fermeture et ont tendant à être conditionnées.
Exemple et conseil pratique : "Je suis aimé que lorsque je reflète une bonne image." Dans ce cas : l’amour que l’on s’autorise inconsciemment à recevoir est conditionné à l’image de nous-même que l’on pense être admis et accepté par l’extérieur. On peut alors formuler cette affirmation à contrario et s’interroger « Si je ne reflète pas une bonne image, cela signifit-il que je n’ai pas le droit d’être aimé ? » et d’aller ainsi observer la réponse intérieure qui se présente alors en nous.
Pour savoir si on est face à une croyance limitante, il convient de s’observer : voir comment on se sent intérieurement.
- Quelles réponses nous apporte notre corps ?
- Que te dit ta petite voix intérieure (celle qui parle avec douceur) ?
Le ressenti est la clé.
« Ils ne savaient pas que c’était impossible donc ils l’ont fait » J’adore cette citation, je la trouve très inspirante, pas vous ?
A partir du moment où une pensée nous donne le sentiment que quelque chose est impossible, c’est déjà une croyance limitante. A méditer… ;)
3. Croyances limitantes
4. Croyances limitantes et vie consciente
5. Le pouvoir de l'instant présent
1ère clé: S'OBSERVER
L’observation objective, neutre (c’est-à-dire : sans jugement) et bienveillante est la clé qui permets non seulement d’identifier nos croyances erronées, mais également d’apprendre à mieux nous connaitre.
« Connais-toi toi-même » est un excellent conseil, merci Socrate ;)
L’observation de ce qui est (c’est-à-dire : la réalité) permets d’accroitre notre champ de conscience. On comprend mieux ainsi les autres, la situation dans son ensemble et soi-même.
Cette vision élargie issue de l’observation objective de ce qui est, libère notre esprit de ses carcans limités et on accède ainsi à une compréhension plutôt qu’à des jugements (qui ne sont que des hypothèses, suppositions et des projections illusoires de croyances erronées).
Comment s’observer ?
C’est tout simple : Notez ce qu’il se passe en vous.
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Prenez conscience de ce qui se joue en vous : quelles sont vos pensées, quelle est leur nature, comment vous vous sentez physiquement, émotionnellement …
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Prenez conscience de vos comportements, de vos réactions : qu’est-ce qui vous fait réagir ? Quel type de personne, d’attitude, de situation vous fait réagir d’une manière que vous sentez ne pas être en accord avec vous-même ?
Nous sommes tous des miroirs les uns pour les autres.
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Quel reflet de vous-même voyez-vous chez les autres ? Que vous reflètent-ils ? Que voyez-vous en eux et que projetez-vous sur eux ? « Qu’est-ce que l’autre réveille en moi ? » Que vous révèlent-ils sur vous-même ?
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Quel types de propos tenez-vous : sur vous-mêmes, à propos des autres, de votre environnement (professionnel, politique, religieux…)… ?
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Identifiez les schémas répétitifs qui se présentent dans votre champs d’expériences (exemple: le même type de relations amoureuses, les mêmes galères au travail…).
Faites un bilan de votre vie sous divers aspects : professionnel, relationnel, familial, amical, financier, amoureux, physique (santé et autre)…
Voyez ce qui vous convient et ce qui ne vous convient pas : observer là où vous vous sentez bien, ce qui vous fait vibrer et à contrario voyez là où ça pèche.
C’est un vrai travail d’introspection à faire avec Soi-m’aime. C’est pour cela que je vous parlais de bienveillance. Il s’agit s’être bienveillant avec soi-même en s’autorisant à aller regarder en soi non pas pour se blâmer (on a tendance à porter la « faute » sur les autres, ou à défaut sur soi-même) mais au contraire pour aller toucher avec Amour des parcelles blessées de votre être.
6. Observer sans juger
7. Observation authentique et joyeuse découverte de soi-m'aime
L'importance du RESSENTI
Afin de se libérer de ce qui ne nous convient pas, il faut d’abord en prendre conscience. C’est pour cela que le travail d’introspection est si important.
Ce dont je vais vous parler maintenant est d’un niveau plus subtil, bien que physique.
Ce que l’on ressent intérieurement, qu’il s’agisse de nos émotions, de perceptions physiques (comment est ma respiration ? ai-je des tensions, des douleurs ou une quelconque gène, un mal-être… ? quelle est ma posture, l’expression de mon visage… ?) ou encore énergétiques (est-ce que je ressens une « boule au ventre » ou « des papillons dans le ventre » ? Est-ce que je me sens plombé ou allégé, comme ré-énergisé… ?) est un indicateur de 1er ordre de ce qui se passe en soi.
Nul besoin de mentaliser ce que l’on ressent, il suffit juste de l’observer. Prenez conscience de ce qu’il se passe en vous en chaque instant.
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Face à chacune de vos pensées, observez ce que cela vous fait.
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Observez ce qui se produit en vous lorsque vous êtes sur le point de dire ou de faire quelque chose ou, au contraire lorsque vous en abstenez (de dire ou de faire quelque chose). Voyez ce que cela fait en vous.
Pourquoi est-ce si important ?
Parce que nos ressentis sont notre système de guidance. Ce sont les indicateurs de notre alignement intérieur.
Plus nos ressentis sont agréables, paisibles, harmonieux et plus nous sommes en accord avec nous-mêmes : notre être véritable, notre Moi Profond, notre lumière intérieure, notre âme.
A contrario, plus nos ressentis sont empreints de peur et plus on est éloigné de notre vérité intérieure.
On peut se mentir à soi-même (par le mental) en essayant de se convaincre soi-même ou de nier la réalité, mais notre ressenti ne ment pas.
C’est pourquoi, lorsqu’on est à la recherche de la vérité, notre ressenti est un grand allié.
Comprendre quelque chose par le ressenti permets non seulement d’accroître notre compréhension intellectuelle, mais aussi et surtout d’intégrer l’essence du message ou de l’information à un niveau encore plus profond. On va ainsi bien au-delà des limites de notre mental (aussi intelligent et cultivé soit-il).
Ecouter son ressenti c’est écouter son âme. C’est S’écouter.
Comment pourrait-on se créer une vie en accord avec nos valeurs, nos rêves et aspirations profondes si on ne s’écoute pas ?
8 Ressenti: apprendre à ressentir ses énergies
9 Ressenti et conscience de l'impact de ses pensées
Pourquoi est-ce que je vous parle de VERITE ?
Car, comme vous l’aurez compris et ressenti, les croyances limitantes que l’on se crée intérieurement sont, par nature, erronées. Ce sont des mensonges que l’on se crée et nourrit inconsciemment.
Puisqu’on y accorde de la crédibilité (car qu’on les croit vraies) et que nos pensées sont créatrices, on crée ainsi dans notre vie leur manifestation. Et puisque la vie vient nous apporter « des preuves », que l’on va ainsi percevoir par nos filtres (le filtre de nos croyances conscientes et inconscientes), on rentre alors dans le cercle vicieux de pensées auto réalisatrices qui s’auto alimentent jusqu’à ce que l’on vienne les mettre en lumière.
Exemple :
Une personne qui manque de confiance en soi, ne se croyant pas capable de réussir son projet professionnel - qui pourtant l’appelle fortement -, risque de ne jamais oser se lancer. Cette personne pourrait alors prendre son courage à deux mains et envisager de créer son entreprise, mais alors son entourage va lui suggérer de ne pas le faire car « c’est risqué », « est-ce que tu pourras en vivre ? » , « Tu es sure de toi ? », « je connais quelqu’un qui a fait plus ou moins la même chose et ça n’a pas marché », « tu n’es pas faite pour ça »…Les projections des autres, même si elles sont formulées avec les meilleures intentions qui soient, vont alors ébranler le peu de foi et la confiance déjà vacillante de la personne va alors en prendre un coup. Cette personne aura l’opportunité soit de continuer à alimenter la croyance selon laquelle elle n’est pas capable, soit d’aller en son for intérieur écouter cette flamme qui l’anime et la pousse à changer de vie. Elle peut soit continuer à subir ses mécanismes d’autosabotage soit décider de s’écouter.
A tout moment, nous sommes libres de choisir et de créer notre vie en accord avec qui nous sommes vraiment.
Le mensonge opprime, la vérité libère.
C’est en rendant conscientes nos croyances illusoires qu’on les mets en lumière et qu’on peut ainsi s’en libérer.
Comment ?
En allant contacter la vérité qui leur correspond.
A chaque croyance erronée correspond une vérité éclairée. Pour chaque pensée discordante que nous créons, il existe au moins une vérité profonde en nous : celle qui vibre en harmonie et en accord avec notre âme.
Ce sont ces vérités-là qu’il s’agit de contacter, de vivre et d’incarner ici sur Terre : nos vérités intérieures et lumineuses.
Plus on se connecte à votre vérité intérieure et plus on dissout les mensonges illusoires de nos anciennes croyances limitantes.
Plus écoute notre voix intérieure, plus on se sent bien.
- Pourquoi ?
- Tout naturellement : parce qu’on cesse alors de créer de la dysharmonie dans notre corps, nos émotions, nos aspirations, nos actions, nos paroles et nos pensées.
C’est ce qu’on appelle « être aligné » ou encore « être en accord avec soi-m’aime ».
10 Vérité libératrice
La lumière de votre vérité intérieure transmute les fausses croyances auxquelles vous vous êtes accrochées. La vérité remet les choses à leur juste place et répand l'harmonie en vous (et dans votre vie).
Vous êtes libres de nourrir en vous ce qui est en accord avec Vous-m'aime. Plus vous allez le faire et plus vous allez vous alléger.
Quelles sont les caractéristiques de l'âme et de la vérité intérieure ?
Lorsqu’on entre en contact avec son être véritable, au plus profond de son cœur, on la comme le sentiment d’être chez soi.
On se sent en paix , en sécurité.
La reliance au grand Tout. L’âme est en lien avec toutes les âmes qui existent dans tout l’univers. Nous sommes tous connectés, ensemble nous sommes Un.
L’harmonie. Notre âme est, par nature, constamment harmonieuse. Reliée à tout ce qui est, elle baigne et évolue dans le champs cosmique universel. Notre lumière intérieure est la manifestation incarnée de cette harmonie universelle dont nous faisons tous partie. Nous baignons constamment dans l’harmonie et nous n’en avons même pas conscience (la plupart du temps). La voix de l’âme est la voix de l’équilibre et de l’harmonie. Il n’y a pas de fausses notes lorsque notre âme nous parle.
Paix, calme, sérénité. Puisque notre part lumineuse est dans un état d’harmonie constante, l’une de ses caractéristique est un état de paix : une paix profonde et sans conditions (sous-entendu : sans projections d’attentes extérieures, c’est une paix inconditionnelle). La voix de notre âme est paisible. Elle s’exprime avec douceur, amour et bienveillance. D’ailleurs en sanskrit, « shanti » désigne la paix. La santé est donc un état de paix intérieure authentique et profonde.
Joie L’âme est cette parcelle de lumière divine présente en chacun : elle est éternelle. La joie sans objet est l’un des états d’être caractéristique de l’âme. Il s’agit de la joie pure de la vie qui vibre, crée et se recrée à l’infini.
Pureté L’essence de toute âme est la lumière : la lumière pure de la vie. Tout ce qui émane des profondeurs de votre être véritable est teinté de pureté, de clarté et d’authenticité. La voix de l’âme est amour ; sa lumière elle-même est composée de particules d’amour.
Justesse Il y a une certaine justesse dans les messages et les informations qui nous viennent de notre Moi intérieur. On sent que c’est juste. On sent profondément en soi que « Oui c’est ça ».
Fluidité Lorsque c’est fluide, alors c’est juste. Si ça ne l’est pas c’est soit par ce que n’est pas le bon moment, soit parce quelque chose de mieux nous attend ou alors que nous avons encore des résistances intérieures plus ou moins inconscientes.
Lorsque notre âme nous transmet des informations, par intuition, on sent qu’il s’agit de la Vérité car elle apparait comme une évidence, nous apportant clarté d’esprit et liberté intérieure.
La vérité libère ; elle nous fait vibrer sur la même longueur d’ondes que notre âme de lumière. Notre être profond est, par nature, essentiellement LIBRE : libre par essence.
Tout ce qui ne vibre pas en harmonie avec notre être profond, est discordant. C’est le signe qu’il y a quelque chose qui n’est pas concordant, pas juste, pas entièrement vrai car lorsqu’on s’écoute profondément ON SE SENT BIEN.
Comment aller contacter son âme et ses vérités lumineuses ?
En allant à l’intérieur de soi.
Il existe diverses pratiques qui peuvent vous y aider : des pratiques sportives, le yoga, la danse, écouter de la musique, méditer…Bref tout ce qui vous fait du bien et vous permets de lâcher prise et d’être dans l’instant présent.
Méditation pour contacter son Moi Profond et ses vérités lumineuses:
Faites le vide, apaisez votre esprit, calmez vos émotions…Rentrez dans un espace de paix et de sérénité en vous.
Respirez en conscience.
Prenez conscience de la totalité de votre être (physique, énergétique...)
Rentrez dans votre cœur, imaginez que vous respirez par et à travers de l’espace sacré de votre cœur.
Laissez-vous imprégner par l’énergie de votre âme, de votre être profond, de vous-m’aime.
Allez contacter cette part de vous qui sait et demandez-lui de vous éclairer quant à la vérité qui correspond à votre croyance limitante.
Soyez dans une posture d’accueil intérieur, faites le vide et laissez venir les réponses de votre Moi Profond.
Notez ces affirmations au présent.
Ne les jugez pas, accueillez-les telles qu’elles sont et voyez ce que cela vous fait en vous. Observez-vous de l’intérieur.
Quels ressentis cela crée en vous ? Comment est votre respiration ? Est-ce que vous vous sentez bien ? Est-ce que vous sentez une ouverture intérieure ? Un sentiment d’allégement, de légèreté ? Une plus grande liberté ? Un sentiment de libération ? Un flot d’amour ?... Si vous avez de tels ressentis ; des ressentis qui vous portent, qui vous élèvent et vous font vous sentir bien alors vous êtes allé contacter votre vérité intérieure.
Si tel n’est pas le cas, prenez du recul et allez plus en profondeur en vous-même. Peut-être avez-vous des croyances limitantes cachées derrière celle que vous avez identifiée et votre ressenti vous indique d’aller plus loin. Allez voir ce qu’il y a en vous-m’aime. Rappelez-vous que vous êtes en sécurité, que vous êtes guidé et lumineusement accompagnés. Vous êtes dans un espace de paix, un espace sacré où il ne peut rien vous arriver.